Ecole Fabrice Hohn

Activités du club

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Mis à jour le 19/05/2018 - 10919 vues

Présentation Ecole Fabrice Hohn

Cours et stages sur les disciplines corporelles chinoises :
Kungfu Ultime, Taï-chi bien-être, chi-kung
Cours dans l'Est et le centre de Nantes, Sautron, Thouaré, Ancenis.
Différentes salles et catégories d'âges.
Le Kungfu Ultime (Boxe du Faîte suprême) était réservé aux officiers ainsi qu'aux gardes du corps de l'Empereur... On appelle aussi cet art martial : le dim-mak (points mortels) et le hao chuan (boxe relaxée).
Le Taï-chi bien-être et le chi-kung sont excellents pour la forme et sont pratiqués dans certains hôpitaux.

Historique

Dès 1985, Fabrice Hohn pratique le bâton court, le nunchaku, le tri-bâton (3 bâtons d'une cinquantaine de centimètres chacuns reliés par des chaînes).
En 1987, il commence la pratique du Shorinji kempo (Kungfu de Shaolin traditionnel).
Mais, c'est trois ans plus tard, en découvrant des mouvements ondulés déclenchés par une sorte de frisson à travers la relaxation du yoga, que Fabrice remet en question les principes du Shorinji kempo. Il se renseigne donc sur cette énergie qu'il déclenche à volonté dans ses gestes et qu'il reconnaît dans les arts énergétiques et les arts martiaux internes. Le Taï-chi chuan parlant effectivement d'énergies enroulées ou spiralées (jin, chi), Fabrice visite pratiquement tous les professeurs de Taï-chi chuan de sa ville et choisit les cours de G. Saby. Il y apprend la forme de Yang Chengfu (Taï-chi chuan moderne), les tui shou (poussées des mains), le bâton, le sabre, les bases du Pakua chang et certains chi kung (qi gong).
C'est aussi à partir de 1991 que Fabrice commence à recevoir l'enseignement du premier "maître" de Taï-chi chuan occidental officiellement reconnu par trois des plus grands maîtres chinois : Erle Montaigue. Il est invité à Nantes par G. Saby. En 1992, Fabrice accueille chez lui E. Montaigue et son meilleur élève S. Le Marseny (lui-même maître en arts martiaux internes). Après les avoir rencontrés plusieurs années à Nantes et à Londres, Fabrice se rend en Australie pour participer à un stage de deux semaines avec E. Montaigue et il est accueilli chez S. Le Marseny pendant quelques jours. C'est ainsi que Fabrice a pu accéder à l'art du Taï-chi chuan ancien nommé Hao chuan (boxe relaxée), à l'art du Dim-mak (points vitaux) et aux formes traditionnelles de Yang Lu-chan, de Yang Shou Hou et aux techniques de perturbation du chi de la boxe de Wudang shan, etc., ...

Maître Erle Montaigue & Eli / Erle & maître Fuzhongwen 1981: Chine / 4 Maîtres avec Erle : Tai Chi, Bagua, Xingyi: 1985 / Erle recevant le diplôme de maître des mains de Wang Xin-wu 1985 / maître Chang Yiu-chun (élève de Yang Shaohou) qui a enseigné les secrets du Taiji ancien à Erle : 1985
Par ailleurs, Fabrice s'initie à l'enseignement donné par le maître chinois Su Dong-chen et son école "Essence of change"ou rebaptisée "Essence of evolution". Cela lui révèle notamment ce qu'est la fluidité, aussi bien dans les enchaînements (katas, Dao lu, kuens...) que dans le combat. Et, plus intéressant encore, cette rencontre lui fait découvrir une certaine vision des techniques dans l'espace que lui-même approfondira et modifiera.
Parallèlement au Taï-chi chuan, afin de ne pas rester cloisonné dans une seule perspective, Fabrice Hohn pratique également le Pa kua chang (Ba gua zhang), le I chuan (Yi quan), un an de Judo et un an de Jeet Kune do, l'art de Bruce Lee (+ Kali et Shoot wrestling).
Il participe à des stages donnés par les experts Philippe Granger, Serge Augier et Yann Kallenbach.
En 1996 il crée son propre art martial : l'Art des Trois Cercles. Ce dernier est le fruit de la spontanéité, de la créativité et de ses recherches sur la bio-mécanique, la psycho-bio-génétique ainsi que sur les chaînes musculaires. Ses découvertes simples concernent notamment l'évolution du cerveau et du système nerveux.
En 1998, Fabrice quitte son professeur G. Saby et devient totalement indépendant en créant sa propre école dont le nom évoluera au fur et à mesure des années et de son évolution : d'abord "École des Trois Cercles", puis "École du Phénix" et enfin tout simplement "École du Taiji".
Peu après, Fabrice intègre ses connaissances et ses découvertes dans le Taï-chi chuan style Yang. Ce dernier s'est tellement enrichi qu'il peut être appelé "le style Fabrice Hohn"...
Aujourd'hui, Fabrice ne cesse d'approfondir ses connaissances et d'expérimenter le domaine des énergies en relation avec la médecine chinoise , la radiésthésie et le "magnétisme". Elles sont pour lui les bases et les clefs d'une maîtrise grandissante des arts martiaux et de la découverte de soi. Son vécu, ses rencontres et ses recherches l'ont mené à reconsidérer l'art du Taï-chi chuan : la technique doit se subordonner à l'énergétique vécue. C'est ainsi que son école dévoile différents principes du mouvement toujours liés à des énergies de plus en plus subtiles et passionnantes. Ces énergies changent la manière de faire le Taï-chi chuan tout en respectant la trame technique d'origine. Elles permettent aussi de clarifier et d'unifier toutes les stratégies liées à la selfdéfense ; ce que Fabrice appelle la Selfdéfense Universelle.
Les différents styles existent non pas seulement à cause de personnalités différentes mais aussi par le fait de connaissances et d'expériences variées. L'idéal est de mener l'enseignement vers une synthèse à travers l'expérience de toutes les énergies distinguées par niveaux. Ainsi, Fabrice Hohn enseigne plus de 12 manières de générer les mouvements du corps. Certaines d'entre elles n'ont encore jamais été enseignées. (voir "Tableau des niveaux").
N.B. : Depuis 1998 Fabrice HOHN ne s'attache plus à aucun maître ou école pour ne pas utiliser d'images qui ne lui correspondraient que partiellement.

Ecole Fabrice Hohn (adresse principale)
Rue Arthur Rimbaud, Nantes (44300)